Nous ne voulons pas que 1990 se soit passé en vain

Trente ans se sont écoulés depuis le siège de Kanehsatà:ke, mieux connu sous le nom de « crise d’Oka », lorsque la police provinciale du Québec et les forces armées canadiennes ont attaqué la communauté mohawk de Kanehsatà:ke, en raison du refus des Mohawks de laisser la municipalité d’Oka agrandir un terrain de golf dans leur cimetière ancestral. Ellen Gabriel, résidente de Kanehsatà:ke, était en première ligne de ces événements.

FRONTLINE REPORTS

Franklin López

7/9/20201 min temps de lecture

Nous ne voulons pas que 1990 se soit passé en vain
2020, durée 03:21

Trente ans se sont écoulés depuis le siège de Kanehsatà:ke, mieux connu sous le nom de « crise d’Oka », lorsque la police provinciale du Québec et les forces armées canadiennes ont attaqué la communauté mohawk de Kanehsatà:ke, en raison du refus des Mohawks de laisser la municipalité d’Oka agrandir un terrain de golf dans leur cimetière ancestral. Ellen Gabriel, résidente de Kanehsatà:ke, était en première ligne de ces événements.